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[Poitiers] Acharnement policier contre le DAL 86

Soutenons le copain ce vendredi 14H30 devant le comico de Poitiers !

Brève : un militant du Dal86 convoqué au commissariat le 14-06-12 et reconvoqué vendredi 22 juin à 14h30

L’un des militants du DAL86, ciblé depuis longtemps par les autorités qui semblent chercher par tous les moyens à le faire tomber, en particulier en le rendant responsable personnellement – puisqu’il est solvable et a un travail d’enseignant-, des actions du DAL86, a été convoqué en début d’après-midi par un officier de police judiciaire de la Brigade des accidents et délits routiers pour… les affaires du squat du 11 rue Jean-Jaurès (effraction avec dégradation et mise en danger de la vie d’autrui) et de tag (menace de mort envers le maire de Poitiers). Il est convoqué de nouveau pour deux autres procédures vendredi 22 juin à 14h30. Merci de venir nombreux devant le commissariat pour le soutenir et de diffuser massivement autour de vous.

Nous sommes confrontés une nouvelle fois à des tentatives des autorités de constituer un délit de solidarité et de criminaliser les militants. La nouveauté c’est qu’aujourd’hui ce ne sont plus les « jeunes » et/ou « marginaux » qui sont harcelés mais des vieux militants de terrain qui en l’occurrence, n’ont pas d’autres but que de coopérer avec les sans logis et mal logés afin de les soutenir, de les appuyer pour mettre en place des solutions concrètes. Imaginons si lors de la grande grève de la faim des sans papiers en 2006, M. Santrot alors maire de Poitiers avait mis en cause nommément et publiquement les militants qui les soutenaient et les accompagnaient, les accusant d’instrumentaliser, de manipuler les sans papiers et de mettre leur vie en danger et si les procureurs les avaient fait convoquer pour audition au commissariat ? Eh bien c’est exactement ce qu’il se passe aujourd’hui avec le DAL86 et les sans logis et mal logés.

DAL 86, 14 juin 2012

[Le Chefresne] Chronique d’un État nucléaire à l’époque du « changement »

[Le Chefresne] Chronique d’un État nucléaire à l’époque du « changement »

Depuis décembre 2011, l’administration française, RTE et son chapelet de sous-traitants ont lancé, dans la plus grande tradition oligarchique de la République française, les travaux de la ligne très haute tension Cotentin-Maine, sensée raccorder le futur réacteur EPR au reste du monde. Depuis, des centaines de riverains, soutenus par de non moins nombreux opposants à une société nucléaire, ont décidé de s’opposer physiquement à l’avancée des travaux, dernier recours pour tenter de mettre un terme à cette expropriation de nos vies. Si l’ensemble du parcours de la THT a connu, sur des modes très variés, les affres de cette colère légitime, depuis 5 mois Le Chefresne, commune du Sud Manche, est l’endroit où cette résistance est manifestement la plus active. La détermination de ses habitants, maire en tête, n’y est pas pour rien. L’assemblée du Chefresne, regroupement circonstancié d’une centaine d’individus, y a d’ailleurs pris ses quartiers, dans l’espoir d’amplifier la lutte à côté des riverains et des multiples associations constituées tout le long du trajet.

Alors que le chantier continu quotidiennement à être perturbé, l’assemblée du Chefresne a voulu appeler à un week end de résistance les 22, 23 et 24 juin 2012, afin d’amplifier la lutte et donner du courage à tous les riverains, parfois isolés, et garder intact la détermination à en finir définitivement avec cette THT (et son monde).

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Depuis que cet appel a été lancé, la situation a changé. Pas tant sur un aspect paysager, même si nous vivons comme un crève-cœur chaque nouveau pylône édifié, mais bien plus par l’occupation policière et militaire dont fait l’objet le territoire de la ligne. Si depuis le mois de mars nous assistions à une mobilisation policière inouïe à l’occasion de chaque action publique, celle-ci a longtemps montrait que peu de détermination à empêcher les interférences sur les chantiers, si ce n’est à nous dissuader par leur simple présence. Depuis quelques jours, le vent du « changement » a touché le Cotentin. L’arsenal répressif dont l’État français a toujours su faire usage, notamment quand il s’agit de s’en prendre à son industrie nucléaire, fonctionne à plein régime.

Mi-mai, garde à vue de 4 personnes, donnant lieu à l’inculpation de 3 personnes pour qui la police essaye de fabriquer des figures d’organisateurs de la mobilisation de Valognes fin novembre tentant de perturber la circulation des déchets radioactifs. Procès le 9 octobre à Cherbourg.

Fin mai, convocation d’une dizaine de militants pour au moins trois « affaires » différentes : l’action publique de déboulonnage du 11 mars 2012, l’action d’occupation d’une maison rachetée par RTE à Cerisy, fin avril et début mai, l’action de déboulonnage public au Pertre, en Ille et Vilaine, le 28 avril. Une personne (pour le moment) se retrouvera au tribunal cet été. Notons que dès le mois de mars, suite à l’action publique du 18 mars, une personne était arrêtée et convoquée au tribunal pour le 19 juin.

Début juin, suite à une action de soutien à une famille, en Mayenne, refusant un pylône sur son terrain, alors qu’une quarantaine de personnes occupe paisiblement la propriété de cette famille, les flics interviennent sans aucune raison (et en dépit de toute légalité) et expulsent tout le monde avec la violence habituelle. Comme de coutume ces violences policières donnent lieu à une arrestation avec inculpation pour « rébellion ». Procès à Laval, le 23 août 2012.

5 juin, l’incarnation du « changement » en personne débarque dans le Cotentin pour la commémoration du débarquement. Les élus du Chefresne, naïvement mais avec une détermination qui leur colle à la peau, tentent une entrevue avec le secrétaire de l’Élysée. Éconduits, « faute de temps », ils se retrouvent renvoyés à prendre rendez-vous avec le préfet. Mercredi 6 juin, 16h, entretien téléphonique avec le préfet qui accepte de recevoir une délégation le jeudi pour entendre la revendication de moratoire sur le chantier THT, à l’instar de ce qui vient de se passer autour de l’aéroport de Notre Dame des Landes. À peine raccroché le téléphone, alors que la résistance au Chefresne avait empêché jusque-là tout travaux sur la commune, les pelleteuses de terrassement débarquent au Chefresne accompagnées de leur habituel cortège bleu foncé. Le rendez-vous avec le préfet est bien entendu caduque. C’est physiquement le jeudi matin qu’il faudra faire face. Jeudi matin, une quarantaine de personnes, maire en tête, tente de s’opposer à l’arrivée des machines. Le maire brandit son arrêté municipal interdisant l’édification des pylônes sur Le Chefresne. Après deux heures, les gendarmes l’embarquent en garde à vue, avec deux autres riverains, pour entrave à la circulation, violence avec voie de faits. Trois autres personnes seront arrêtées peu après, y ajoutant le motif de rébellion. 5 gardes à vue en tout, dont on attend les éventuels suites judiciaires. Émotion dans le village, chez les militants. Les médias s’emparent de cet évènement, à la veille des Législatives. Le conseil municipal se réunit dès le jeudi soir et décide unanimement de boycotter les élections pour refuser de cautionner cette dictature nucléaire. Vendredi matin, tractation avec la préfecture pour que les élections soient prises en charge par elle-même. Le préfet accepte, s’entendant sur le fait que le maire ne fera qu’ouvrir le bureau, le premier adjoint le fermera. Fin d’après-midi, samedi, les gendarmes débarquent chez chacun des élus afin de les réquisitionner pour le lendemain, à l’encontre, une fois de plus, de l’engagement oral du préfet. Menace de 30’000 € d’amende pour le maire et 15’000 € pour le premier adjoint. Face à ces trahisons, le conseil municipal décide à l’unanimité de démissionner, refusant de se coucher devant une telle dictature. Ils tiendront le bureau de vote sous la contrainte mais digne. Le harcèlement n’ayant plus de limite, dimanche, 5h du matin, les gendarmes débarquent à nouveau chez le maire. La salle du bureau de vote aurait été vandalisée. En fait, c’est 5 communes, dont Le Chefresne, qui ont vu les serrures des bureaux de vote obstruées. La population non plus ne désarme pas…

Il est maintenant évident et nécessaire, vu ce que nous imposent les pylônes dressés sur nos terres, que beaucoup de personnes sentent l’envie en eux d’agir directement contre ce maillon faible de l’industrie nucléaire vu l’inacceptable répression des opposants, les droits fondamentaux des personnes bafoués, l’humiliation qu’infligent RTE à la population.

Chacun, à sa manière, doit pouvoir trouver les réponses pratiques à opposer à ce projet, avec un mot d’ordre commun, qui englobe toutes les formes d’actions possibles : faire taire les machines et stopper les travaux de la ligne THT Cotentin-Maine !

La solidarité est et sera notre atout majeure lors des prochains évènements qui ébranleront les travaux et les gestionnaires de la future ligne THT. Une multitude de nuisances ayant pris différentes formes ont déjà eu lieu contre ce projet. Elles sont toutes reproduisibles, populaires et démultipliables, pour peu qu’elles soient partagées, discutées.

Le rapport de force avec l’État et donc RTE, qui maintenant est notre seul but pour faire plier le pouvoir, sera d’autant plus efficace que nous serons nombreux à crier notre rage, par-delà les désillusions du nouveau pouvoir en place, par-delà nos différences.

Voilà l’un des enjeux du camp anti THT : se retrouver, partager, échanger sur les pratiques, se renforcer pour agir lors de la journée d’action du dimanche 24 juin mais évidemment dès maintenant et plus tard tout au long des 150 km la ligne.

Rien n’est fait, tout se défait.

Ce qui s’est déjà joué depuis 6 mois sur le terrain n’est qu’un début. Amplifions nos envies de révolte contre toutes les infrastructures et les projets démentiels.

Vive la lutte anti THT

Le Chefresne, le 11 juin 2012

Jura Libertaire, 16 juin 2012

[Poitiers] Rassemblement de soutien aux Syrien-ne-s

Halte au massacre en Syrie

Rassemblement à Poitiers samedi 16 juin

Depuis plus de 14 mois, le peuple syrien brave la mort pour exiger la chute de la dictature de BACHAR AL ASSAD.  De  grandes manifestations ont eu lieu spontanément dans plusieurs grandes villes : Derâa,  Hama,  Homs, Lattaquié etc..

Dès les premières manifestations,  le pouvoir syrien a répondu avec brutalité en faisant appel à l’armée avec comme conséquence des centaines de morts et de disparus.

Depuis, le pouvoir n’a cessé de manœuvrer, d’utiliser toute sa propagande et sa force militaire pour briser cette révolte légitime du peuple syrien martyrisé par tant d’années de dictature.

Au vu et au su du monde entier et sous les bombardements visant la population sans distinction, le peuple syrien continue  avec courage à réclamer sa liberté et sa dignité.

Notre devoir est de soutenir tous  les peuples en luttes contre les pouvoirs absolutistes.

Ces combats ne doivent pas être occultés par les tractations des puissances impérialistes et leurs alliées, par le biais de leurs instances, qui cherchent à sacrifier les révoltes populaires pour leurs intérêts économiques et stratégiques.

Nous dénonçons et condamnons fermement les actes de barbarie dont sont victimes des enfants et des innocents civils en Syrie. Ce qui s’est passé le mois dernier AL-HOULA et récemment est un exemple révoltant qui nous montre une fois de plus que seul le peuple syrien pâtit de ces actes.

Le régime  en place est responsable de tout ce qui arrive actuellement à la Syrie, responsable par sa violence envers la population, responsable par son incapacité à protéger la population, responsable par sa vision de l’avenir de la Syrie qui est centrée uniquement sur la survie du régime.

Comme en Tunisie,  en Lybie, en Egypte, au Yémen,  au Bahreïn etc, une famille et son clan dirige le pays, s’octroie tous les privilèges et dénie tous les droits à la majorité de sa population en faisant régner la terreur policière et cela, depuis un demi-siècle.

  • CONTRE LA DICTATURE
  • CONTRE LA TORTURE ET LES ASSASSINATS
  • CONTRE LES MASSACRES D’ENFANTS SOUTENONS LE PEUPLE SYRIEN DANS SA LUTTE POUR LA LIBERTE.
Rassemblement de soutien au combat du peuple syrien pour la liberté.   Devant le Palais de justice de Poitiers   Samedi 16 juin à 18h

A l’appel de An-Nadi Arabe   Centre socioculturel de Beaulieu, 10 Boulevard Savari,   email : annadiarabe arobase wanadoo.fr

Vu sur le site du NPA 86, 13 juin 2012

[Poitiers] Zo Prod fête ses 15 ans

http://www.zoprod.com/

15 ans et une pêche d’enfer

Le collectif artistique Zo Prod invite samedi les Poitevins dans son usine pour fêter ses quinze années de créativité autour des arts de la rue. Histoire.

Zo, c’est au départ une dizaine de personnes, on bricolait chacun dans notre coin et on a décidé de louer et de gérer ensemble un lieu, raconte aujourd’hui Jean-Luc Auvin, l’un des trois « historiques » du collectif, on était tous amateurs, soit musicien soit plasticien, on venait de l’industrie, du commerce ou du secteur socioculturel et quasiment personne n’avait de formation artistique. Au-delà de l’éclectisme qui caractérise alors le groupe, « pour chaque personne c’était alors un choix de vie, l’expérimentation d’un autre fonctionnement sans hiérarchie verticale. C’est pour ça qu’on est véritablement un collectif et pas une compagnie », assure rétrospectivement Jean-Luc Auvin.

Le bruit du métal comme marque de fabrique

L’univers punk en héritage et le bruit du métal comme marque de fabrique, c’est autour du travail du fer que le collectif s’est forgé ses lettres de noblesse aux accents ouvriers. La construction du char La Bête (à la demande du Confort moderne) pour la Techno parade en 1999 est alors un tournant, celui de la mutation de Zo en Zo Prod marquant l’acquisition d’une licence de spectacle. Située en retrait de l’avenue de Paris, l’ancienne usine (propriété de la ville) occupée depuis maintenant deux ans par Zo Prod (après son départ du quartier des Montgorges) est le creuset de l’expérience au quotidien du groupe de créateurs (pour la plupart intermittents du spectacle). Tournée principalement vers les arts de la rue, l’activité de « Zo » se décline sous trois formes principales : la production de spectacles et d’installations (Ferbotten, Konstructor, La Famille Tuvora…), la construction de machineries pour d’autres compagnies et l’accueil d’artistes en résidence. Dans l’un des ateliers, on travaille aux ultimes soudures de la dernière création maison : « Pièces uniques en série », atelier mobile de sérigraphie. « Samedi ça fonctionnera », assure l’une des trois sérigraphes attitrées du collectif après avoir relevé son casque de soudeur. « Si ce n’est pas le déluge, on attend dans les 2.000 personnes », estime à la louche Jean-Luc Auvin. Une belle entrée au paradis en fer de « Zo » pour « Pièces uniques en série » avant son premier déplacement dès la fin juin à Sotteville-les-Rouen pour « Viva cité », l’un des plus grands festivals d’art de rue de l’hexagone.

Voir notre vidéo sur lanouvellerepublique.fr

> Le collectif. Fondé à Poitiers il y a quinze ans par une dizaine de personnes, le collectif artistique compte aujourd’hui quatorze membres dont deux salariés administratifs. Jean-Luc Auvin, Cécile Chamard, Julia Henaud, Alain Kolpak, Christine Dgeat, Sébastien Giraud, Armelle Chenu, Baptiste Savit, Sandra Proux, Loïc Bernardeau, Poy, Anne Hubert, Francis Reverdy et Soline Rouland composent aujourd’hui Zo Prod. > Les résidences. L’association accueille régulièrement des résidences de création dans ses murs. La compagnie Humains gauches (de Poitiers) y prépare actuellement sa nouvelle création. > le programme de samedi. – De 14 h à 18 h : Pascal Perroteau (spectacle pour enfants), Chap’de Lune (cirque), Hod’up steady (rock). – De 18 h à 20 h. Fred Abrachkoff (humoriste), La Quinte (chanson), La Revieille (vielle à roue de secours). – De 20 h à 2 h. Between the riot (rock), Un Dolor (rock), Cie Humains gauches (clowns), Antihéro (rap), Révérant Poy (DJ), Guemo & Meyso (DJ).

Zo Prod fête ses 15 ans, 11, chemin du Quai-d’Embarquement, entrée libre, restauration sur place. Renseignements : 05.49.36.02.16. www.zoprod.com

Nouvelle République, Dominique Bordier, 16 juin 2012

8 nouvelles traductions anars du CATS

Le Collectif Anarchiste de Traduction et de Scannerisation (CATS) de Caen (et d’ailleurs…) vous annonce aujourd’hui la mise en ligne de 8 traductions, librement téléchargables et diffusables sur notre site à l’adresse suivante http://ablogm.com/cats/ . En voici une brève présentation :

– Entretien avec Abraham Guillen : Entretien de 1978, tiré de la revue anar espagnole « Bicicleta ». Guillen, anarchiste exilé, combattant de la révolution espagnole, auteur de livres sur la stratégie de la guérilla et sur l’autogestion, y raconte ses relations avec certaines guérillas latino-américaines des années 60 et 70 auprès desquelles il a parfois joué un rôle « d’assesseur politico-militaire ».

– Ni Dieu, ni maître, ni mari : la Voz de la Mujer (Argentine 1896-97) : Un aperçu de ce journal anarchiste argentin, tourné vers les femmes des classes populaires, qui fut une des premières expressions anarcha-féministes au monde.

– Un Young Lord se souvient : Un témoigne de Richie Perez sur les multiples luttes (sur la santé, l’éducation, contre les brutalités policières etc…) menées par le Parti des Young Lords, issu de la communauté portoricaine de New York. – Les Young Lords et les premiers gangs portoricains de Chicago : Un entretien avec Mervin Mendez sur la genèse des Young Lords de Chicago (assez différents culturellement et socialement de celles et ceux de New York), sur la communauté portoricaine de cette ville et sur les premiers gangs qui en furent issus.

– Les femmes à l’usine FIAT – Italie 1970 : Un article paru dans Lotta Continua sur la féminisation de la main d’œuvre ouvrière chez FIAT, l’espoir patronal de trouver chez les femmes une force de travail docile et un moyen de diviser les luttes ouvrières radicales qui émergeaient, la situation sociale et culturelle des femmes ouvrières….

– Féminisme italien, opéraisme et Autonomie dans les années 1970 : Un texte qui survole les courants du féminisme italien issus de l’opéraisme et de l’autonomie, qui se mobilisèrent particulièrement contre les violences faites aux femmes et pour la rétribution du travail reproductif (au sens de reproduction de la force de travail à travers les tâches éducatives, ménagères, de soins, de réconfort affectif et sexuel…).

– Le soulèvement de Sibérie occidentale 1921-1922 : Un petit texte qui survole ce soulèvement paysan massif opposé à la dictature bolchevique et déclenché par les politiques drastiques de réquisitions alimentaires du pouvoir rouge.

– Guerre de classe en Finlande 1918 : 2 courts textes, le premier sur la tentative méconnue de révolution prolétaire en Finlande et sur son écrasement par les réactionnaires locaux et le deuxième sur l’activité de marins russes anarchistes en Finlande lors de la Guerre Civile.

On publiera encore une série de traductions dans quelques semaines avant de marquer une pause estivale.

Il nous reste encore pas mal de textes à traduire en anglais (et aussi un peu en espagnol), on continue donc à en appeler aux bonnes volontés pour prendre en charge certaines traductions. On peut nous contacter à l’adresse mail suivante : catscaen(a)voila.fr

Merci aux quelques personnes qui nous filent des coups de mains pour les traductions. Merci de faire tourner l’information et de faire connaître notre site et les modestes ressources qu’il contient. Salutations anarchistes.

Mail du CATS, 16 juin 2012