Archives de catégorie : Désinformation bourgeoise

[Toulouse] Quand la presse s’emmêle

Ca y est les dépêches tombent… passons sur le titre qui montre tout le respect de la bourgeoisie pour son beau principe de « présomption d’innocence », sur les dénominations de « commando » et « d’ultra-gauche » (brr…), sur le fait que la personne aspergée de lacrymo n’ait pas eu d’ITT suite à l’événement, sur l’arrestation  d’immigrés dans le même temps… Nous rappellerons juste que le soutien à ces personnes n’était pas de « trente » personnes, lors du rassemblement devant le tribunal, mais d’une bonne centaine.

Et que cette solidarité ne s’en tiendra pas là.

Toulouse : quatre casseurs écroués

Quatre membres présumés d’un commando qui avait commis des dégradations dans des locaux de la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), près de Toulouse, afin de dénoncer l’incarcération des mineurs, ont été mis en examen et emprisonnés, a-t-on appris auprès du parquet. Le 5 juillet, à Labège, en banlieue toulousaine, une dizaine de casseurs, très organisés, vêtus de noir, cagoulés et gantés, ont fait irruption dans le bâtiment de la direction interrégionale de la PJJ. Ils ont saccagé des salles et écrit « nique la justice » ou « porcs » sur les murs. Un salarié avait été aspergé de gaz lacrymogène.

Hier, sept personnes âgées de 21 à 30 ans ont été interpellées dans des squats de Toulouse. Cinq ont été mises en examen et quatre d’entre elles ont été placées en détention pour des faits de dégradation et de violence. Aucune n’est originaire de la région toulousaine, selon le procureur de Toulouse, Michel Valet. Le parquet s’est refusé à préciser les conditions dans lesquelles les enquêteurs sont remontés jusqu’aux suspects. Selon une source proche de l’enquête, ces militants d’ultra gauche, chômeurs ou étudiants, ont agi par conviction, non pour se venger d’une incarcération dans un Etablissement pénitentiaire pour mineurs (EPM).

« C’est rare qu’on interpelle ces gens-là car ils sont très prudents, ils refusent les prélèvements ADN et refusent de répondre lors des interrogatoires », a dit un enquêteur.
Une vingtaine de membres d’un comité de soutien des casseurs présumés a manifesté mercredi devant la brigade de gendarmerie de Saint-Orens, puis devant le palais de justice où ils étaient entendus, pour protester, derrière une banderole affichant « mort aux flics ».

AFP, repris par le Figaro, le 17 novembre 2011

Pillage des terres en Afrique

Comment l’Afrique brade ses terres

Les terres du continent noir constituent un enjeu essentiel pour l’avenir.Comment moraliser et réguler cette course effrénée à l’acquisition facile de terres dans les pays pauvres?

Un fermier sud-africain, le 15 février 2010. Reuters/Siphiwe Sibeko

Avec les très violents heurts en octobre dernier dans une commune rurale du nord du Sénégal à la suite d’un projet privé de biocarburant, ressurgit le problème controversé de la concession, de la location ou de la vente des terres à de gros investisseurs dans les pays pauvres. Retour sur un phénomène qui ne cesse de prendre de l’ampleur en Afrique.

La cession de 20.000 hectares de terres à des investisseurs privés italiens à Fanaye dans la vallée du fleuve Sénégal (région de Podor) a déchaîné la colère d’une partie des villageois et des conseillers ruraux. Partisans et adversaires de la transaction se sont très violemment affrontés à coups de bâtons, machettes, gourdins et armes à feu artisanales. Bilan de ces échauffourées, deux morts et une vingtaine de blessés. Les Italiens projetaient de produire du biocarburant.

«20.000 ha, c’est le tiers de toutes les terres cultivables de la communauté rurale», s’était insurgé sur RFI le 26 octobre Ahmadou Thiaw, du collectif de défense des terres de Fanaye.

Appuyés par des ONG, ses amis et lui ont menacé d’organiser une grande marche de protestation le 28 octobre à Dakar. Probablement encore sous le choc de l’énorme succès de la manifestation du 23 juin dernier contre la tentative de modification de la constitution par le président Abdoulaye Wade, les autorités nationales ont décidé de suspendre le projet.

Iront-elles jusqu’à remettre en cause le partenariat signé à Dakar le 13 septembre dernier entre Sen Huile et l’ISRA (institut sénégalais de recherches agricoles) pour lancer un projet de plantation et d’exploitation de tournesol, dont une partie serait utilisée dans la fabrication du biocarburant? Partenariat à l’origine du projet de Fanaye. Rien n’est moins sûr. La société Senhuile est détenue à 51% par le groupe italien Tampieri Financial Group et à 49% par des privés sénégalais.

«Des milliers d’hectares attribués»

Amadou Kanouté est le directeur exécutif du CICODEV (Institut de recherche, de formation et d’action pour la citoyenneté, les consommateurs et le développement). Le constat qu’il dresse dans les media sénégalais est accablant. Selon lui, la cession des terres est en train de prendre une ampleur extraordinaire dans le pays. A l’entendre, durant les dix dernières années, des milliers et des milliers d’hectares ont été attribués sans consultation des populations locales, à des autorités politiques ou religieuses ainsi qu’à des entreprises étrangères.

Et de citer des exemples à Diokoul au centre-ouest du Sénégal où quelques 3000 hectares de terres ont été pris à 99 paysans de quatre villages par une autorité politique du pays. Même chose en Casamance, où des milliers d’hectares ont été attribués à une société pour produire du jatropha destiné à l’exportation.

Des accusations corroborées par le nouveau rapport d’Oxfam au nom évocateur «main basse sur les terres agricoles et déni des droits», rendu public le 22 septembre dernier.

«Une partie non négligeable de ces transactions sont en fait des accaparements de terres qui bafouent les droits et besoins des populations locales concernées. Sans consultation préalable, dédommagement ni voie de recours, ces dernières se voient ainsi privées de logement et de terre (…)», peut-on y lire.

Administrateur principal du Club du Sahel et de l’Afrique de l’ouest- OCDE, Jean Zoundi Sibiri tempère la situation:

«Ce qui s’est passé dans le nord du Sénégal est la conséquence d’un manque de transparence et de communication».

«Il faut se garder de diaboliser le phénomène et bien faire le distinguo entre des porteurs de projets venus uniquement en Afrique produire pour l’exportation et faire du profit et les pays africains qui ont mis au point des politiques agricoles à même de répondre à leurs demandes locales», confie-t-il à Slateafrique.

«Ne pas le diaboliser»

Pour lui, produire du biocarburant n’est pas forcément infamant.

«On peut le faire sans confisquer des terres aux paysans. Au Mali par exemple, les choses se font de façon tout à fait harmonieuse avec les populations paysannes. Certaines sont même actionnaires dans la société de production d’agro carburant».   

«En Afrique de l’ouest», poursuit l’économiste agricole burkinabé, « le Mali, le Sénégal et le Nigeria se sont fixés des objectifs ambitieux dans le domaine énergétique. Le Mali prévoit de diminuer sa consommation de gasoil et de DDO, -un combustible issu du processus de raffinage du pétrole- d’au moins 15% entre 2014 et 2018 et de les remplacer par du biocarburant».

Et de narrer «une expérience fort intéressante en cours au Nigeria» :

«Le Kassav tiré du manioc y est utilisé en agro-industrie. Une production induite et financée par des investisseurs nationaux, pour fournir de l’énergie de cuisine aux populations locales. L’initiative est couplée avec un projet de fabrication de cuisinières et de foyers susceptibles d’utiliser ce nouveau carburant vert».

«Des contrats ont même été signés avec l’association des producteurs de manioc pour augmenter la quantité de ce tubercule aussi utilisé pour fabriquer du gari, farine de manioc tant prisée en Afrique de l’ouest», précise Jean Zoundi Sibiri. Non sans reconnaître qu’en Afrique, les exemples positifs comme en cours Nigeria et au  Mali ne sont pas légion.

«Un phénomène en forte croissance»

Inquiétant d’autant que les transactions foncières à grande échelle se sont accélérées ces dernières années.

«Même s’il est difficile à quantifier vu l’absence totale de transparence qui le caractérise, il est incontestablement en forte croissance» souligne pour Slateafrique, Jean-Cyril Dagorn d’Oxfam France.

Depuis 2001 dit-il, 227 millions d’hectares ont été vendus, loués ou concédés dans le cadre de transactions foncières à grande échelle :

«Malgré le manque de transparence entourant ces transactions foncières, des recoupements ont à ce jour, permis d’établir que 1100 portent sur un total de 67 millions d’hectares, dont la moitié en Afrique, pour une superficie quasi équivalente à celle de l’Allemagne».

Pour lui, trois raisons principales expliquent cette croissance exponentielle: la concurrence effrénée pour l’acquisition des terres agricoles surtout depuis la dernière crise alimentaire mondiale qui a eu pour conséquence, une forme de financiarisation des produits agricoles; la recherche d’autres sources de profit par des investisseurs échaudés par la crise immobilière; et la volonté politique de l’Union européenne d’incorporer 10% d’agro carburant dans sa consommation énergétique.

Si le phénomène touche aussi le Honduras et le Guatemala en Amérique centrale, l’Indonésie en Asie, il est beaucoup plus répandu en Afrique pour trois raisons: le continent africain dispose encore suffisamment de terres disponibles, le prix du foncier est peu élevé et selon Jean-Cyril Dagorn, les investisseurs ont plus de marge manœuvre pour contourner le droit local, généralement peu appliqué.

«Les principaux acquéreurs, de gros investisseurs étrangers»

En Afrique de l’ouest, en plus du Sénégal, du Mali et du Nigeria, il a gagné le Burkina Faso; l’Ethiopie, le Kenya, la Tanzanie, l’Ouganda et le Soudan du Sud fraîchement indépendant en Afrique de l’est; le Cameroun en Afrique centrale.

Les principaux acquéreurs sont de gros investisseurs privés étrangers, essentiellement européens comme dans le nord du Sénégal, de grandes multinationales, telle que la New Forest Company en Ouganda. Mais aussi des états très riches, notamment les pays du golfe arabique ou d’autres.

La Libye par exemple a investi au Mali dans la zone de l’office du Niger dans un projet de production de riz appelé Malibya, avec pour objectif affiché, d’assurer sa sécurité alimentaire. Les élites locales qui profitent du laxisme et des largesses que leur accordent les autorités nationales, ne sont pas en reste.

Comment moraliser et réguler cette course effrénée à l’acquisition facile de terres dans les pays pauvres? La communauté internationale doit «adopter au plus vite des standards internationaux contraignants sur la gestion des ressources naturelles» recommande Oxfam.

SlateAfrique, Valentin Hodonou, 16 novembre 2011

[Fontenay] Un nouveau squat évacué, les okupants relâchés… et un article moisi de la presse bourgeoise

Le squat d’anarchistes évacué et muré

Onze personnes issues de la mouvance anarchiste ont été interpellées puis relâchées hier matin. Depuis février, ces jeunes occupaient une ancienne école privée tout près du RER.


FONTENAY-SOUS-BOIS, PLACE MOREAU-DAVID, HIER. A la suite d’une décision du tribunal d’instance, cette ancienne école fermée depuis trois ans devrait être reprise par son propriétaire, qui était en négociation pour vendre ce terrain à la ville.

FONTENAY-SOUS-BOIS, PLACE MOREAU-DAVID, HIER. A la suite d’une décision du tribunal d’instance, cette ancienne école fermée depuis trois ans devrait être reprise par son propriétaire, qui était en négociation pour vendre ce terrain à la ville. | (LP/L.P.)

On aperçoit à peine du mobilier, des restes de soirées arrosées et des tags au-dessus du mur en parpaing que deux entrepreneurs montent à la hâte. Quelques heures après l’évacuation du squat de l’ancienne école privée protestante Jeanne-d’Albret, place Moreau-David, à Fontenay, le quartier a retrouvé son calme.

Hier à l’aube, une cinquantaine de policiers prennent possession des lieux, tandis que leurs collègues sécurisent le quartier. Le squat où ont vécu une cinquantaine de jeunes depuis le 27 février n’en compte que 11 hier matin. Sans aucune rébellion, ils ont été interpellés et conduits au commissariat pour de simples vérifications d’identité. Cette évacuation fait suite à la décision du tribunal d’instance du 17 octobre afin que le propriétaire privé récupère cette ancienne école située juste en face de la gare du RER à Fo ntenay-sous-Bois. L’école, elle, était fermée depuis trois ans et le propriétaire était en négociation pour vendre ce terrain à la ville.

Fini les débats et les soirées à thème

Les jeunes squatteurs, tous âgés de 18 à 25 ans environ, ont été autorisés à récupérer leurs affaires personnelles avant que les entrées menant à cette grande bâtisse bourgeoise soient toutes fermées. Fini donc les débats et soirées à thèmes qui avaient lieu environ une fois par mois. Début septembre, évoquant l’éventualité d’une expulsion, l’un des jeunes squatteurs se désolait sur un blog : « On cherche à détruire le (peu!) d’autonomie que nous avons construit face à ce monde marchand en se réappropriant cette maison laissée à l’abandon. » Déjà, le 1er septembre, l’électricité avait été coupée dans la maison, ce qui avait entraîné la colère des squatteurs.

L’évacuation rassure les riverains. « Je n’osais plus passer devant pour aller au bois de Vincennes, surtout le soir, quand on voyait des véhicules passer autour tout doucement, parfois balançant des sacs par-dessus le mur », raconte Rose, en promenant ses deux petits chiens. « On y voyait souvent des banderoles et des tags, du genre « A bas le patronat », et ils étaient très bruyants, c’était pénible, ajoute Michèle, retraitée. Il y avait toujours des poubelles qui traînaient, ça faisait sale. Je suis contente que le quartier retrouve le calme et qu’ils arrêtent de dégrader cette si belle demeure. »

Leur presse – Le Parisien, Laure Parny, 15 novembre 2011

Premier exercice pour des réservistes, en cas de « très haute tension sociale »

En face, ça s’organise…

Des réservistes mobilisables en cas de crise

De Vannes, du Mans ou de Rennes, ces 80 réservistes ont été appelés par téléphone et ont dû se mobiliser en quelques heures pour rejoindre le terrain. Pour la première fois, un exercice militaire implique des réservistes, prêts à tout lâcher en 48 heures pour rejoindre leur unité. Ce dispositif a fait l’objet d’un test grandeur nature, hier, au 2e Rima du Mans.

Reportage

Dans leur autre vie, ils sont étudiant, agent de collectivité, salarié d’une agence commerciale ou même militaire à la retraite. Et, depuis ce mercredi, ils sont quatre-vingts réservistes à dormir pour quatre jours sous des bâches, en pleine forêt, dans le gigantesque camp d’entraînement du 2e Régiment d’infanterie de marine (Rima), au Mans.

Par tradition familiale ou engagement personnel, ils consacrent jusqu’à un mois par an à leur deuxième métier, en kaki. Bien qu’habitués aux exercices mensuels auxquels ils sont régulièrement conviés, ces militaires réservistes participent, pour la première fois en France, à un test grandeur nature de mobilisation d’urgence.

De Vannes, du Mans ou de Rennes, ils ont été appelés par téléphone et ont dû se mobiliser en quelques heures. Dans un contexte de crise énergétique grave, il s’agit de sécuriser un dépôt de carburant fictif menacé par une situation de très haute tension sociale.

Sujet sensible

Aux militaires qui figurent des manifestants, ils opposent une interdiction formelle d’aller plus loin. Ils doivent conserver l’accès du site sans intervenir directement dans le maintien de l’ordre. Ce scénario, élaboré il y a quelques semaines, sert d’abord à mesurer les mécanismes de mise en oeuvre du système Guépard réserve, selon la terminologie militaire. Le dispositif a été voté au printemps et connaît là sa première application sur le terrain, en grandeur réelle. Sur les 45 000 réservistes recensés en France, il s’agit de garder en permanence environ 800 soldats intermittents disponibles et mobilisables en moins de 48 heures.

Sur réquisition du préfet, ils sont destinés à venir suppléer la police, la gendarmerie ou la sécurité civile en cas de crise majeure, de manière ponctuelle ou sur l’ensemble du territoire, si les forces de police étaient débordées par l’ampleur du phénomène.

Des militaires, même réservistes, intervenant en renfort dans le cadre d’opérations de maintien de l’ordre : cela amène nécessairement des interrogations, voire des inquiétudes républicaines que le commandant de brigade, le général François Lecointre, tient immédiatement à dissiper. « Nous savons bien que l’engagement des armées reste un sujet très sensible. »

Il explique que l’exemple d’aujourd’hui est réaliste mais ne serait mis en place qu’en cas d’état d’urgence, pour garantir des points vitaux par exemple et sous la seule responsabilité du Premier ministre. « En revanche les mêmes mécanismes de mobilisation peuvent être mis en oeuvre, et c’est ce qui nous intéresse aujourd’hui, pour répondre à des situations catastrophiques, après une grave tempête par exemple. »

Leur presse – Ouest France, Camille Guillemois, vendredi 11 novembre 2011

« J’ai appris à me vendre »

Le speed meeting ou l’autre moyen de se jauger

08/11/2011 05:39

 

Speed meeting. Derrière ces mots barbares se cache une nouvelle façon de mettre en relation l’univers du travail et celui de l’université.

Tête-à-tête de quinze minutes pour se présenter, écouter et débattre.

 

Tête-à-tête de quinze minutes pour se présenter, écouter et débattre. – (dr)

La Faculté des sciences de Poitiers et le Safire (programme d’insertion professionnelle des étudiants) organisaient ce lundi leur premier speed meeting à la Technopole du Futuroscope. Derrière ces mots barbares se cache une nouvelle façon de mettre en relation l’univers du travail et celui de l’université. Quinze représentants du monde du travail et une soixantaine d’étudiants en Master 2 informatique et télécommunications, mathématiques ou économie de marché avaient répondu à l’appel. Ces outils essentiels permettent une communication pour mieux préparer l’insertion de futurs acteurs du monde professionnel avec des chefs d’entreprises au cours de mises en relations directes.

Tester son argumentaire, sa présentation

« Chaque étudiant a dû choisir au moins deux entreprises à rencontrer. Il dispose de quinze minutes : cinq pour se présenter, cinq pour établir une relation « questions-réponses », les cinq dernières étant consacrées au débriefing. Ces rencontres ont un aspect pédagogique car elles préparent aux entretiens de demain » explique Philippe Meseure responsable informatique à l’université de Poitiers. Placée au coeur du dispositif la mise en relation s’inscrit donc dans une démarche tant économique que sociale tout en créant une dynamique où chacun trouve sa place. L’étudiant qui se prête au « jeu » du speed meeting découvre une formule très efficace où il peut tester son argumentaire et sa présentation en les intégrant dans une notion d’échanges. Romaric un étudiant en Master 2 informatique sort réjoui de son premier entretien de l’après-midi « J’ai reçu une aide et enregistré des conseils qui me serviront pour corriger mon CV et/ou ma lettre de motivation. J’ai appris à me vendre. Cette rencontre fut très enrichissante ». Dans le speed meeting l’énergie et la concentration des participants caractérisent ces rencontres plutôt agréables qui lèvent certaines inhibitions.

Leur presse, Nouvelle République, Marc Wast, 8 novembre 2011