[Bussière-Boffy – 87] Les habitant-e-s des yourtes se pourvoient en cassation

Les yourtes de Bussières-Boffy déposent un pourvoi en cassation

Les trois familles habitant en yourtes depuis 2007, à Bussière-Boffy, en Haute-Vienne, ont été condamnées par la Cour d’appel de Limoges du 14 juin 2013, à la démolition de leurs habitats d’ici trois mois, avec une astreinte de 75 € par jour et par yourte, et une amende totale de 4 340 €.

Face à l’indignation générale, les familles condamnées ont décidé de se pourvoir en cassation afin de faire reconnaitre leurs droits ainsi que la légitimité de cet habitat écologique et sa fonction sociale, notamment en zone rurale. Ce pourvoi suspend l’application des peines.


Pour nous permettre de continuer à nous défendre, si vous le pouvez, merci de nous aider en envoyant un don

  • soit par chèque à l’ordre de : HALEM (Association des habitants de logements éphémères ou mobiles),

à envoyer à l’adresse suivante : Aude Bach, Roche – 87330 Bussière-Boffy

Bon de souscription à joindre au chèque

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Je fais un don pour contribuer à la défense des yourtes de Bussières-Boffy. J’accepte que mon don soit affecté à une autre procédure de défense de yourtes, s’il y avait un reliquat.


Depuis son élection en 2008, le maire de Bussière-Boffy s’acharne par tous les moyens – c’est sans doute le seul maire de France à avoir fait fermé l’école de sa commune – à faire partir ces familles avec enfants qui vivent dans des yourtes, sur des terrains leur appartenant ou appartenant à des amis (également condamnés). Il a pour cela rendu leurs terrains inconstructibles, malgré l’avis de la commission d’enquête publique, et s’apprête à les exclure du PLU en cours d’élaboration pour geler définitivement leurs droits.

Grâce à une mobilisation populaire, les familles avaient été régularisées en mai 2009 par le sous-préfet, la DDE et le maire. Aucune de ces trois autorités n’a respecté son engagement. Depuis 5 ans, ces familles font l’objet de nombreux abus de pouvoirs, de plaintes, de harcèlement administratif et de discriminations de la part du maire. Jusqu’ici, ils ont toujours eu gain de cause dans les procédures qui les ont opposés à la mairie. Mais l’État a fait appel du jugement de décembre 2012 qui relaxait les habitants des yourtes, et les très lourdes réquisitions de l’avocate générale de la Cour d’appel ont été suivies à la lettre, niant les droits fondamentaux et la légitimité de ces habitants.

Dans une période de crise écologique profonde, et une situation économique sans précédent, face à la pénurie de logements et à la désertification des campagnes, les habitats alternatifs comme la yourte apportent une réponse positive. Sa faible empreinte environnementale, l’autonomie énergétique de ses habitants et ses assainissements écologiques en font un habitat qui devrait être favorisé par l’État plutôt que criminalisé. C’est pourquoi, pour défendre leur droit à la terre, pour préserver l’intérêt des enfants et des générations futures, les familles concernées ont décidé de se pourvoir en cassation.

Tous vos dons seront exclusivement utilisés pour les frais liés à la procédure de défense des yourtes. MERCI DE VOTRE SOUTIEN !

Contact : yourtesbussieres@yahoo.fr

Vu sur yourtesbussiere-boffy.info

[Brésil] Pour les émeutes, tapez 2

NdPN : voici bientôt deux semaines qu’un grand mouvement de contestation et d’émeutes secoue le pouvoir brésilien. L’assemblée et le congrès ont été en partie occupés par les manifestant-e-s. Le parti des travailleurs au pouvoir avec Dilma Rousseff est fébrile. Il était déjà tristement célèbre pour sa répression des oppositions des favellas lors des travaux de la coupe du monde, des syndicalistes et des communautés indiennes s’opposant à la construction du barrage de Jirau (un projet mené par GDF Suez, socialement et écologiquement dévastateur), sans parler des meurtres d’indiens Terena du Mato Grosso do Sul lors de leur mouvement d’occupation de la fazenda Buriti.

Voici que ce gouvernement de « gauche », après avoir gardé le silence sur la répression brutale du mouvement par les flics (lacrymos, tirs à balles en caoutchouc) dit vouloir entendre et comprendre les manifestant-e-s… tout en tentant bien évidemment et sans surprise de dissocier les gentils manifestant-e-s des méchant-e-s émeutier-e-s ! Les médias tentent aussi d’infléchir leur discours, tout en dénonçant les « violences » des émeutier-e-s. Mais il semble que cela ne soit pas très concluant (voir article ci-dessous) !

Le gouvernement omet de rappeler que le ministre des sports lui-même a prôné la « tolérance zéro », alors même que la manif pacifique à Rio autour du stade Maracana était réprimée très brutalement…

Solidarité avec les émeutier-e-s !

pour les émeutes, tapez 2

Depuis plus d’une semaine ça chauffe au Brésil. Lundi des manifestations contre la vie chère ont rassemblé plus de 250 000 personnes dans les principales villes du pays. La principale manif a eu lieu à Rio, où elle a réuni plus de 100 000 personnes. La protestation a continué jusqu’à tard dans la nuit, avec de nombreuses scènes d’émeutes dans le centre ville. Un groupe de quelques dizaines de manifestants aurait même pris d’assaut le parlement de l’État de Rio.

C’est dans ce contexte qu’une chaine de télé a eu la bonne idée de soumettre au vote en direct « êtes-vous pour ou contre les manifs ? »…

Résultats: OUI, de manière écrasante. Alors, la chaine de télé change la question : êtes-vous pour les manifs avec des émeutes ?

Et là, surprise, le OUI l’emporte encore largement… L’ensemble de la scène est assez marrante, d’autant qu’on assiste aux tentatives du présentateur pour faire pencher la balance vers la désapprobation des manifs, ou, au moins, lorsque dans un second temps il s’agit d’émeutes, une dissociation… Et non. (La 2e question n’était apparemment pas prévue par la production à l’origine.) Bon, ça ne veux pas dire grand chose, mais le score est encore plus écrasant côté émeutes…

Ci dessous la vidéo de l’émission.

http://youtu.be/7cxOK7SOI2k

Des nouvelles manifs sont prévues dans les prochains jours. Le pouvoir parle déjà de couper internet, pour une durée illimitée, afin de désorganiser les manifestants.

Pour se donner une idée des hausses des prix, disons simplement qu’en mai, les prix des tomates ont grimpé de 96% sur un an, les oignons, de 70%, le riz, de 20% et le poulet de 23%. Côté logement, les loyers ont progressé de 118% depuis 2008.

Dans les hôtels,  le tarif des chambres a explosé de près de 80% à 246,71 dollars en moyenne, ce qui fait de Rio la troisième ville la plus chère du monde.

Vu sur tantquil

[Poitiers] Les salarié-e-s du CIF ne veulent pas partir les mains vides

Crédit Immobilier de France : l’argent, le nerf de la grève

Des salariés dans l’angoisse du lendemain.

Les salariés du Crédit Immobilier de France, avant de grossir les rangs de Pôle emploi en 2014, veulent négocier au mieux leurs indemnités de licenciement.

Salle Monaco de l’Hôtel de Paris à Poitiers. Quelques dizaines de salariés du Crédit Immobilier de France Centre-Ouest (CIFCO) venus de Châteauroux, Niort, Tours, Brive, Limoges, Poitiers… écoutent les explications de Céline Robin et Dominique Grégorutti, leurs représentants à la Commission centrale de négociation, sur le plan de sauvegarde pour l’emploi dévoilé mardi, à Paris, par la direction du Crédit Immobilier de France.

 » Le CIF va continuer à faire des bénéfices jusqu’au bout « 

Ce PSE, « le plus important jamais réalisé en France (1) » selon Dominique Grégorutti, a déclenché, hier, une grève « suivie par 80 % du personnel ». « Dès 2014, 90 postes sur les 140 seront supprimés au CIFCO », continue M. Grégorutti, directeur de secteur à Thouars. « Nous avons besoin de connaître les souhaits et les attentes de nos collègues. Il existe un énorme besoin d’informations », relève Céline Robin, avant d’estimer : « Globalement, nous sommes déçus des propositions. Le directeur parle de quelque chose de « puissant ». C’est ce qui m’a le plus choqué. » Pour Dominique Gregorutti, « c’est d’autant moins satisfaisant que le CIF est une machine qui continue à faire des bénéfices et en fera jusqu’au bout. » Sur les indemnités de licenciement, tout le monde a ouvert grand ses oreilles : « On nous met sur la table un mois et demi de salaire par année d’ancienneté sur la base de 3.500 € mensuels avec un plafond de 30 mois. Nous, on veut négocier deux mois de salaires par année d’ancienneté sur la même base mais en faisant sauter ce seuil de 30 mois ».

Le secteur bancaire ne recrute plus

Autre sujet de désaccord, les montants alloués à la formation : de 8.000€ à 10.000 € selon l’ancienneté. « Il faut 50.000 € pour une formation longue de plus de deux ans et 20.000 € pour une formation courte », balise Céline Robin, qui envisage de devenir « directrice de maison de retraite », jugeant qu’« avec un secteur bancaire qui ne recrute plus, la situation peut être compliquée pour nous, notamment les seniors. ». Un quart des salariés du CIFCO a plus de 45 ans.

(1) 1.200 emplois supprimés en 2014, 2.500 à l’horizon 2017 – 2018.

Jean-François Rullier, Nouvelle République, 20 juin 2013

[Poitiers] Wifi = danger ?

NdPN : la mairie envisage d’installer des bornes wifi en centre-ville, couvrant un bien plus large périmètre que celui déjà arrosé par ces ondes continues. Nous faisons suivre ces deux articles de la NR d’un autre article, paru sur le site bioprotection. Hormis les failles de sécurité bien connues d’une connexion wifi, et l’aspect politique du quadrillage accru de l’espace par le technopouvoir, existeraient en effet des risques beaucoup plus inquiétants en termes de santé.

Le wifi les rend malades

Le projet d’installation de bornes wifi à accès libre dans le centre-ville ne réjouit pas l’une de nos lectrices. Elle pense aux personnes électro sensibles.

Le wifi gratuit en centre-ville et à la médiathèque François-Mitterrand à la rentrée 2013. Cette information émanant de Grand Poitiers que nous avions publiée dans nos colonnes a fait bondir une lectrice de Saint-Benoît, Georgette Grivel qui réagissait également à un article antérieur sur l’absence de wifi à la médiathèque (*). « Je suis atterrée, écrivait-elle le 26 mai dernier, en pleine semaine du handicap, Poitiers ignore donc l’existence (récente certes, mais en croissance) de la nouvelle catégorie de handicapés que sont les personnes électro-sensibles, souffrant du syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques. »

 «  On a du mal à les croire, on les prend pour des fous  »

Georgette Grivel est d’autant plus réceptive à cette question que sa fille, installée en Vendée, est intolérante aux champs électromagnétiques. Les troubles ont commencé à se manifester au début des années 2000. Ils se sont amplifiés peu à peu. Ils prennent la forme de « troubles cardiaques, de vertiges, de troubles musculaires et articulaires ». « Mon petit-fils, âgé de 17 ans, également atteint désactive la borne wifi de la classe dans laquelle il a cours et demande à ses camarades d’éteindre leurs portables », poursuit la mère et grand-mère. Elle évoque « les parcours du combattant quotidiens que rencontrent les électrohypersensibles ». « On a du mal à les croire, on les prend pour des fous », s’indigne la Poitevine. Elle se préoccupe des conséquences de la décision de la Ville sur les EHS, « interdits de séjour dans des lieux publics » et sur les enfants « qui doivent, selon une loi sur l’école votée récemment, être protégés de l’influence des ondes. Les connexions filaires devant être privilégiées ». L’octogénaire n’est pas pour autant opposée à internet mais prône l’usage de technologies « sans risque » comme la fibre optique. Quant au wifi, elle n’en voit que les désavantages.

 (*) NR des 10 et 18 mai.

le chiffre

25

C’est le nombre de bornes d’accès au wireless fidelity, qui seront implantées sur l’espace public dans le centre-ville ainsi qu’à la médiathèque par Grand Poitiers. Bénéficieront de la « connexion sans fil via le wifi, les habitants et visiteurs disposant d’un appareil numérique (tablettes, ordinateurs portables…) ».

la phrase

« On aura une solution dans les mois qui viennent. »

C’est ce qu’affirme Alain Tanguy, vice-président de Grand Poitiers en charge des questions numériques au sujet du projet wi-fi et de place communicante. «On apporte un service public qui existe déjà dans le privé, dans 80 % des commerces, bars ou supermarchés. On démocratise le service. Concernant les ondes, je crois qu’il faut analyser les choses telles qu’elles sont. On ne va rien changer à l’environnement santé des gens avec cela. Ce plan wi-fi devrait coûter entre 30.000 et 50.000 €.»

réaction

 » Les normes et règles sanitaires appliquées à la lettre « 

« Pour l’ouverture du réseau wifi sur l’espace public proposée par la collectivité, l’ensemble des normes et règles sanitaires régissant l’installation du wifi seront appliquées à la lettre et, notamment, la limitation de la puissance d’émission, inférieure à 100 mW. Cette norme a été mise en place par l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP). Par ailleurs, l’installation filaire par fibre optique est en cours de déploiement dans le cadre du projet Grand Poitiers Networks, Très Haut Débit », précise la Ville.

création

Un collectif pour défendre le filaire

C’est tout récent. Pour se faire entendre face aux nuisances supposées du wi-fi, un collectif baptisé « Oui au filaire, non au wi-fi au cœur de ville » vient de se constituer ces jours derniers à Poitiers. On peut le joindre et s’informer en composant le 05.49.57.09.11.

Marie-Catherine Bernard, Nouvelle République, 20 juin 2013

 » La collectivité a un devoir de vigilance « 

Infographie NR_Source : Grand Poitiers.

A la rentrée 2013, la collectivité devrait mettre à disposition de tous une connexion internet sans fil, via le wi-fi, en centre-ville. Comme en d’autres domaines, le principe de précaution ne serait-il pas préférable en la matière, se demande aujourd’hui l’association PRIARTéM (Pour une Réglementation des Implantations d’Antennes Relais de Téléphonie Mobile) ? Son représentant, Maxime Huille, par ailleurs professeur agrégé de sciences naturelles, met en doute la viabilité du projet de « place communicante » défendu par Grand Poitiers. « Nous ne sommes pas contre le progrès mais nous disons que les ondes électromagnétiques ont des effets sur la santé à partir du moment où on dépasse le seuil des 0, 6 volt par mètre pour les antennes relais. »

Un projet déjà obsolète ?

« En Belgique, en Autriche, ce principe est aujourd’hui acté. C’est vrai qu’il y a des avis scientifiques discordants mais le consensus dit qu’il faut protéger les enfants. L’OMS en 2011 a classé les ondes électromagnétiques comme «  potentiellement cancérigènes  ». La collectivité a donc un devoir de vigilance sur cette question de santé publique. » Concernant le projet wi-fi en centre-ville (27 bornes sont prévues) l’association fait part de ses doutes et prône d’autres choix technologiques. Jusqu’à demander qu’on n’y ait pas recours. « Rendre par exemple la place Leclerc et ses abords communicante pour les hommes d’affaires, les nomades numériques, les touristes, on dit oui mais pas à n’importe quel prix ! Pas avec une pollution électromagnétique en plus. On considère que 3 à 10 % de la population française est électrosensible. Si on ramène ce pourcentage à Poitiers, on arrive un calcul d’environ 4.500 électrosensibles potentiels sur la ville. L’utilisateur de wi-fi, en usage nomade, met sa tablette ou son ordi sur le ventre, les genoux, les jambes. Les ondes augmentent alors la quantité de protéines de stress dans les cellules… Il faut donc absolument privilégier le filaire, concluent les membres de PRIART’éM, on préserve ainsi la santé de tous mais ça n’a pas été prévu, pas été pensé. De plus, avec la technologie 4G (*) qui arrive, ce projet wi-fi est rendu obsolète. »

 (*) Ce très haut débit mobile ou téléphonie mobile de 4e génération devrait notamment permettre le téléchargement de gros fichiers, la visioconférence, la diffusion en direct de vidéos haute définition, etc.

 Contact PRIART’éM : www.priartem.fr

Jean-Michel Gouin, Nouvelle République, 20 juin 2013

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Danger du wifi, vérité ou mensonge

Danger du wifi

Vous allez me dire le wifi est une invention tellement formidable, nous permettant d’avoir internet ou nous voulons, quand nous le désirons… Et inoffensif car autrement il n’aurait jamais sorti cette technologie !

Pourtant, leurs fréquences sont largement inférieures et ne sont pas pulsées mais émises de façon continue. Les ondes du Wi-fi, du Bluetooth et du téléphone sans fil DECT elles, sont composées d’une porteuse micro-onde à 2,4 Ghz, qui est la fréquence d’agitation des molécules d’eau utilisée dans les fours micro-ondes, certes à une puissance 1000 fois inférieure mais émise en permanence.

Les effets du danger du wifi peuvent être les suivants :

– Ces ondes produisent des protéines de stress.

– La perte d’étanchéité de la barrière hémato-encéphalique dû à une résonance avec les fréquences cérébrales et leurs saccades qui désorganisent les processus physiologiques et détruisent des structures biochimiques.

– La baisse de production de la mélatonine et de l’acétylcholine (sommeil, mémoire,concentration …).

– La déstabilisation des régulations membranaires et les dommages génétiques. Il en résulte des pathologies de niveau moyen à lourd, allant des insomnies, maux de tête, pertesde concentration et de mémoire, troubles cardiaques et de l’humeur, jusqu’aux cancers (cerveau,thyroïde, glande parotide …)

Cet ensemble de symptômes est appelé “syndrome des micro-ondes”.

On entend dire que si c’était si dangereux ça se saurait et qu’il n’est pas possible qu’une technologie autant utilisée puisse continuer d’exister si elle occasionnait tous ces dommages… Le lien avec l’amiante et le tabac est très proche. Pour preuve, les risques dû à l’amiante ont cessés d’être couverte par les assurances américaines dès 1913 ! Alors que les ondes de la téléphonie mobile et du Wi-fi, elles, ont cessé de l’être depuis 2000.

Mais cela n’empêche pas que le Wi-fi est toujours activé par défaut sur les Box Internet alors que vous ne l’utilisez peut-être pas. Et les opérateurs s’en servent aujourd’hui pour augmenter leur zone d’émission se servant de votre box pour créer ce qu’on appelle les hot-spots.

C’est pourquoi, en attendant la reconnaissance officielle de sa toxicité, nous vous recommandons de désactiver le Wi-fi et d’utiliser un câble de connexion filaire (RJ45 ou USB).

Alors pas si dangereux que cela le wifi !

Vu sur Bioprotection

[Poitiers] Contribution à la campagne de pub de Logiparc

Après le concours « j’aime mon quartier » organisé par Logiparc, consistant à inviter les locataires à dire tout le bien qu’ils pensent du bailleur social, Logiparc nous refait sa pub avec des photos encadrées de locataires souriants. Avec Logiparc et la mairie PS de Poitiers, c’est plus belle la vie ! La NR relaie avec son ton habituel, empreint de bienveillante neutralité, pour informer sur ce « concours très rigolo ».

Voici la charmante photo des « lauréates » du concours (cheeeese) :

On en a une autre, photo de la NR, pour Logiparc : voici une photo parue il y a quelque temps, où l’on voit les habitant-e-s des Glières, pavillons acquis par Logiparc, où squattaient et squattent encore des familles migrantes sans le sou, en butte à une politique du logement catastrophique de la mairie et de la préfecture. Logiparc a décidé de les expulser sans vergogne, en assignant les familles au tribunal. Elles devront dégager d’ici quelques semaines…

Avec Logiparc, plus belle la vie… à condition d’avoir la bonne apparence qui convient ?

Pavillon Noir, 19 juin 2013