« Le projet de NDDL ne se fera pas »? Et pourtant ils avancent ! Destructions de haies en série sur la zone ouest de la ZAD !

« Le projet de NDDL ne se fera pas »? Et pourtant ils avancent ! Destructions de haies en série sur la zone ouest de la ZAD !

Nous avions évoqué dans un précédent article les déclarations de Vinci d’arasement de talus (et donc de haies) pour élargir les routes d’accès à la ZAD, en vu de la construction du barreau routier pour la fin-mars/début Avril. Ces faits ne faisant que renforcer notre scepticisme, quand à une prise de conscience soudaine de nos si gentils et pas du tout capitalistes/prédateurs bureaucrates du PS quand à la nocivité flagrante du projet d’aéroport de NDDL.

Or, depuis un mois, sur la zone ouest de la ZAD, les destructions de haies et abattage de chênes centenaires s’enchaînent à une vitesse alarmante, anticipant déjà les annonces de travaux d’arasement…

Les naturalistes en lutte ont ainsi découvert que Vinci commençait déjà à araser des talus autour et sur la ZAD, et que des agriculteur/trice-s, profitant de l’occasion, se joignent gaiement à ce saccage de la ZAD ! Ce n’est malheureusement pas la première fois, et ce ne sera pas la dernière, si ne nous réagissons pas rapidement, et en force, face à cette destruction silencieuse, mais de plus en plus concrète de la ZAD !

Nous appelons les camarades (citoyennistes ou non) de la zone ouest de la ZAD à alerter tous/toutes les opposant-e-s au projet d’aéroport et son monde, au moindre bruit suspect de tronçonneuse sur et autour de la ZAD, ainsi que déplacements de camions entourés de forces militaires ! Nous ne pouvons pas laisser ce saccage de la ZAD se dérouler impunément !

Des membres du Collectif de Lutte Contre l’Aéroport de NDDL

Dans ce lien, vous trouverez des photos atroces de haies saccagées (à la fin de l’article) :

http://www.presquilegazette.net/presquilegazette-net-pages/environnement/notre-dame-des-landes/reportages/dimanche-17-mars-sur-la-zad-rencontres.html

Sur cet autre lien, un appel de naturalistes en lutte à stopper ce saccage, avec repérage et photos des zones arasées:

http://zad.nadir.org/IMG/pdf/NDDL_alerte_17_mars_medias-cleaned.pdf

Vu sur le blog du collectif de lutte contre l’aéroport de Notre Dame des Landes, 19 mars 2013

[Projet de LGV Poitiers-Limoges] Quand le TGV fait dérailler les trains de proximité

Quand le TGV fait dérailler les trains de proximité

Pour les habitants du Limousin, le choix est cornélien : profiter du TGV à Limoges ou préserver leur ligne de proximité, qui dessert la région et plusieurs départements avoisinants. Car une lettre du ministère de l’Écologie, qui aurait dû rester confidentielle, révèle que, pour des raisons économiques, il faudra choisir entre les deux. De Cahors à Poitiers, le débat est relancé : la grande vitesse pour quelques-uns ou un service public ferroviaire pour tous ?

Raccorder Limoges au TGV… Un projet de 30 ans. Et « un moteur de développement économique et d’emplois », selon Jean-Paul Denanot, le président socialiste de la région Limousin. Sauf qu’un courrier du ministère de l’Écologie, qui aurait dû rester confidentiel, a mis le feu aux poudres. Pas sûr que la ligne grande vitesse (LGV) apporte bonheur et prospérité aux Limousins. Selon ce courrier, pour « maximiser les circulations sur le projet de LGV Poitiers-Limoges », Réseau ferré de France propose de réduire drastiquement le nombre de trains sur la ligne classique Paris-Orléans-Limoges-Toulouse (dite « POLT »). La fréquence des trains passerait de onze allers-retours Limoges-Paris à quatre.

« L’avenir de la desserte ferroviaire de nombreuses villes et territoires est clairement en jeu », s’inquiète la Coordination des riverains et impactés de la ligne à grande vitesse Limoges-Poitiers (CRI). Cette ligne amènera « la grande vitesse à Limoges et non au Limousin ou aux territoires avoisinants », ajoute l’association Urgence Ligne POLT qui milite pour le développement de la ligne existante.

Le TGV pour une élite d’usagers

Autre paradoxe : la ligne classique dessert davantage d’usagers que la future LGV. De l’Indre au Lot, 2,5 millions d’habitants sont concernés. Avec le TGV, ils « mettront plus de temps pour aller à Paris pour un prix de billet prohibitif », estiment les associations. Actuellement, le prix d’un aller Limoges-Paris est de 57 euros sur la ligne classique. Un billet TGV Paris-Poitiers-Limoges devrait avoisiner les 100 euros. La ligne POLT risque également de devenir « omnibus », sans possibilité de trains plus directs et donc plus rapides.

La ligne grande vitesse aggravera aussi la dette de Réseau Ferré de France (RFF). L’entreprise publique, qui gère les voies, est endettée à hauteur de 30 milliards d’euros depuis qu’elle a été dissociée de la SNCF. RFF considère que la suppression d’un aller-retour sur la POLT diminuera le trafic de 8,3 %. Alors qu’il n’augmentera que de 2,3 % sur la LGV Limoges Poitiers [1]. En clair : les billets TGV ne compenseront pas les pertes financières liées à l’abandon du trafic local.

Fronde des élus

Dans le courrier du ministère, le taux de rentabilité est évalué à 4,58 %. Un chiffre « largement en deçà du taux nécessaire à l’équilibre général du projet (investissement et exploitation), estimé lui entre 6 à 8 % [2] », avance l’association Urgence Ligne POLT. « Qui paiera la différence et en particulier le déficit d’exploitation de la ligne ? ». Le coût de la réalisation de la LGV Limoges Poitiers est estimé à 2,4 milliards d’euros pour 2020 . Soit cinq fois plus que la rénovation de la ligne classique, argumentent les opposants.

Les conclusions de la mission confiée à Jean-Louis Bianco sur la réforme ferroviaire pourraient aller dans leur sens. Pour revenir à l’équilibre, « trois actions sont prioritaires », estime l’ancien ministre des Transports [3]. Il préconise de ne pas construire de nouvelles LGV, leur préférant des solutions intermédiaires, entre les TGV et les trains « Corail ». Jean-Louis Bianco propose également d’augmenter la fréquence des trains classiques. Bref, tout le contraire des sacrifices qu’impose le TGV. Les conclusions de cette réflexion sur la réforme ferroviaire devrait être rendues publiques début avril.

Quel véritable service public ferroviaire ?

La lettre émanant du ministère de l’Écologie a sérieusement agacé le président de la région Limousin, Jean-Paul Denanot. D’après lui, il existe une « évidente complémentarité entre la ligne POLT et le barreau LGV » [4] Pas question d’abandonner le TGV, ni de délaisser la ligne POLT, « un outil indispensable d’aménagement du territoire ». Les élus locaux commencent cependant à se poser de sérieuses questions. Le 9 mars, une trentaine d’élus de la Creuse ont symboliquement bloqué les voies en gare de La Souterraine, relate La Nouvelle République. Parmi eux, des conseillers régionaux du Limousin qui avaient voté quelques mois plus tôt les crédits pour les études de la LGV.

Ce seront aux représentants de l’État et à huit collectivités locales, composant le « comité des financeurs » (régions Poitou-Charentes et Limousin, départements de la Vienne, de la Haute-Vienne et de la Corrèze, les agglomérations de Poitiers, Brive et Limoges), de choisir de sacrifier – ou non – la ligne classique et ses dessertes locales au profit du TGV. « Comment huit collectivités peuvent-elles être mises légitimement en situation de décider pour 4 régions, au moins 12 départements et l’ensemble des communes concernées par l’irrigation de l’axe POLT ? », s’insurgent les opposants. Les associations demandent un débat afin d’éviter « une rupture totale du service public ferroviaire pour les populations du Nord de la Corrèze, du Lot, de la Creuse, de l’Indre, du Cher… ».

La fin du tout TGV ?

L’ouverture de l’enquête publique de la LGV Limoges-Poitiers est prévue courant 2013. Les regards sont désormais tournés vers la commission « Mobilité 21 » chargée de hiérarchiser les quatorze projets de lignes à grande vitesse. Ses conclusions sont attendues entre avril et juin 2013. Le président de la commission, Philippe Duron (député-maire PS de Caen) a d’ores et déjà laissé entendre que plusieurs projets risquaient de ne plus voir le jour. En cause : l’état des finances publiques. Et l’émergence de contestations locales de plus en plus fortes.

Car au-delà de l’opposition à la LGV Limoges-Poitiers ou celle, plus médiatisée, contre le Lyon-Turin, des associations et mouvements se rassemblent un peu partout en France contre la construction de nouvelles lignes ferroviaires à grande vitesse. Absence de concertation, destruction de zones naturelles et de terres agricoles, sous-estimation des coûts de réalisation, trafic de proximité laissé en désuétude… La politique du tout TGV a du plomb dans l’aile. Réunies au sein de la Charte d’Hendaye, lancée en 2010, une centaine d’associations françaises, italiennes et espagnoles réclament une « révision profonde » de la stratégie européenne en matière de transports, l’arrêt immédiat des projets de ligne à grande vitesse, et une véritable participation de la population aux prises de décision.

Sophie Chapelle

@Sophie_Chapelle sur twitter

Notes

[1] Selon les conclusions du dossier d’évaluation socio-économique du projet par RFF à consulter ici (page 44).

[2] Selon le dossier d’enquête préalable à la déclaration d’utilité publique

[3] Dans un document que s’est procurée l’AFP.

[4] Dans une lettre ouverte, il fustige « une initiative déplacée et provocatrice ».

Sophie Chapelle, Bastamag, 19 mars 2013

Pour que le Japon (et la planète) revivent : arrêt immédiat du nucléaire !

Pour que le Japon (et la planète) revivent  : arrêt immédiat du nucléaire  !

Certes, il pourrait y avoir « renaissance du Japon » [1] après le séisme et le tsunami du 11 mars 2011, mais la catastrophe nucléaire qui en a résulté est toujours en cours… …et certaines de ses victimes ne sont même pas encore nées.

Deux ans après, la situa­tion n’est tou­jours pas maî­tri­sée  : la cen­trale de Fukushima conti­nue d’émettre une très intense radio­ac­ti­vité, l’effon­dre­ment de la pis­cine de com­bus­ti­bles for­te­ment radio­ac­tifs du réac­teur n°4 est un risque qui revient à chaque séisme. Rien ne nous est dit sur la conta­mi­na­tion du Pacifique, son exten­sion, et les consé­quen­ces qu’elle a sur la chaîne ali­men­taire.

Deux ans après, les popu­la­tions vivent tou­jours sur des ter­ri­toi­res radio­ac­tifs, et les mesu­res de déconta­mi­na­tion y sont par­fai­te­ment déri­soi­res. Pas seu­le­ment par mau­vaise volonté des diri­geants, mais parce qu’il est tout sim­ple­ment impos­si­ble « d’enle­ver  » la pol­lu­tion radio­ac­tive. Les effets de la radio­ac­ti­vité sont sys­té­ma­ti­que­ment mini­mi­sés, voire niés. Les auto­ri­tés essaient de trans­fé­rer la res­pon­sa­bi­lité de la ges­tion des consé­quen­ces sani­tai­res sur les vic­ti­mes, qui doi­vent elles-mêmes contrô­ler leurs doses et appren­dre à vivre dans un envi­ron­ne­ment radio­ac­tif.

Deux ans après, le nombre de tra­vailleurs envoyés se faire irra­dier sur place semble rele­ver du secret-défense, secret bien gardé par un sys­tème de sous-trai­tance en cas­cade. Les robots ne mar­chent pas mieux qu’il y a 26 ans à Tchernobyl, par contre les yakusa (les clans mafieux) ont rem­placé la nomenk­la­tura de l’ex-URSS pour recru­ter les « volon­tai­res  » à sacri­fier. Et le nombre de tra­vailleurs mala­des ou décé­dés, secret lui aussi, ne cesse d’aug­men­ter.

Deux ans après, les élus oppo­sés aux poli­ti­ques de « ges­tion  » de la catas­tro­phe sont contraints au silence ou à la démis­sion, et les oppo­sants anti­nu­cléai­res sont en butte à la répres­sion (l’année der­nière, des mani­fes­tants et un uni­ver­si­taire opposé à la dis­per­sion des déchets radio­ac­tifs ont été arrê­tés et empri­son­nés).

Deux ans après, la catas­tro­phe conti­nue dans le plus par­fait silence média­ti­que. Silence média­ti­que qui recou­vre aussi de son épais man­teau une région tou­chée il y a 26 ans  : Tchernobyl. Loin des chif­fres ridi­cu­les avan­cés par l’OMS (50 morts et 4000 can­cers de la thy­roïde), l’Académie des Sciences de New York estime le nombre actuel de décès en vingt ans à près d’un mil­lion. Le sar­co­phage fuit, et doit être rem­placé par un second qui sera mis par dessus. Malgré les évacuations de popu­la­tion, la situa­tion sani­taire reste déplo­ra­ble  : aug­men­ta­tion des can­cers, mala­dies du cœur et des vais­seaux, mala­dies du foie, des reins, de la thy­roïde, alté­ra­tions du sys­tème immu­ni­taire, muta­tions géné­ti­ques, ….

Personne ne sait « gérer  » une catas­tro­phe nucléaire. Tout ce que le pou­voir sait faire, à défaut de maî­tri­ser la tech­ni­que, c’est contrain­dre la popu­la­tion, lui mentir et l’inti­mi­der. Tout ce qu’il pré­pare, c’est une ges­tion mili­taire et tota­li­taire pour nous impo­ser de vivre « nor­ma­le­ment  » en ter­ri­toire conta­miné.

Il n’y a qu’une seule reven­di­ca­tion rai­son­na­ble  : arrê­ter le nucléaire tout de suite, avant et pas après la catas­tro­phe quand il ne s’agira plus que de subir attein­tes phy­si­ques et pri­va­tions de liberté.

A nous de cons­truire un rap­port de forces suf­fi­sant pour l’obte­nir. Un rap­port de force réel, pas un rap­port de force illu­soire et éphémère, pas un de ces coups média­ti­ques ponc­tuel comme aiment à en pro­po­ser ceux qui, en s’affi­chant pour la « tran­si­tion énergétique » veu­lent faire croire qu’il sont anti­nu­cléai­res. Un rap­port de force qui per­met­tra de s’en pren­dre à la racine du pro­blème, à ce sys­tème capi­ta­liste pour qui la vie et la santé des gens passe tou­jours après les pro­fits à réa­li­ser.

Solidarité avec les vic­ti­mes pas­sées, pré­sen­tes et à venir des catas­tro­phes de Fukushima et de Tchernobyl

Non au redé­mar­rage des réac­teurs au Japon

Arrêt immé­diat du nucléaire

Stop-Nucléaire Lyon

Notes

[1] « Renaissance du Japon après le 11 mars 2011 ». Exposition à l’Atrium de l’Hôtel de ville de Lyon (devant lequel ce texte a été distribué durant plusieurs jours).

Vu sur Rebellyon, 18 mars 2013

Sainte alliance et chiffon de papier

Sainte alliance et chiffon de papier

« Pensez-vous qu’on puisse légitimement justifier les violences faites aux femmes au nom des coutumes, des traditions ou de considérations religieuses ? »
Aussi surprenant que cela puisse paraître en ce début de vingt et unième siècle, cette invraisemblable question, à laquelle tout individu doté d’un minimum d’humanité répondrait au quart de seconde par la négative, a fait l’objet d’un âpre débat au sein de la commission de l’ONU sur le statut des femmes.
Apre débat, en effet, car il n’aura pas fallu moins de deux semaines – deux semaines ! – pour vaincre la sainte alliance d’abord opposée, avant de céder, à cette affirmation que rien ne peut légitimer ces violences.
Nombre de pays où l’islam demeure religion d’Etat ont eu bien sûr le plus grand mal à se rallier au texte proposé par cette commission, les Frères musulmans de l’Egypte « révolutionnée » allant même jusqu’à déclarer que des articles de ce genre « conduiraient à une déchéance totale de la société ». Il est néanmoins intéressant d’apprendre, à l’heure où le « progressisme » attendu de l’Eglise catholique interroge, que ces pays ont pu compter dans ce débat sur le soutien d’un allié de poids, le Vatican, tandis que se joignaient à cette ineffable front rétrograde les représentants de la Russie de Poutine le couillu.
Si l’on peut évidemment se réjouir à première vue de voir une organisation internationale de cette importance condamner la violence faite aux femmes partout dans le monde, il est toutefois permis de craindre qu’une fois encore cette résolution ne soit, compte tenu des réticences qu’elle a fait naître et de l’absence de mesures concrètes pour la rendre efficiente, qu’un chiffon de papier supplémentaire, à court, moyen et long terme.
Il y a longtemps, par exemple, qu’à travers l’UNICEF ou par le biais de diverses commissions l’ONU a condamné le travail des enfants. Aujourd’hui, d’après l’OIT, il serait 218 petits millions de par le monde à travailler…

Blog de Floréal, 18 mars 2013

[Poitiers] Vitalis : « c’est du foutage de gueule »

Troisième semaine de grève dans les bus

Pour la troisième semaine, la grève s’est poursuivie ce lundi de 6 h 30 à 7 h 25 à l’atelier des bus Vitalis de Poitiers à l’appel du syndicat Solidaires Transports. Et pour la deuxième semaine, les grévistes ont filtré la sortie des bus qui prennent leur service.

Ils demandent la revalorisation d’une prime que la direction était disposée à accepter la semaine dernière pour les agents qui interviennent directement pour des réparations de bus sur le réseau (soit un agent de l’atelier sur quatre). En contrepartie, la direction avait mis sur la table des discussions une réorganisation du service de l’atelier qui aurait conduit à une embauche une heure plus tôt le matin (4 h 30 au lieu de 5 h 30). Cela aurait concerné un ouvrier de l’atelier chaque matin pour faire les niveaux d’huile des bus. « Du foutage de gueule », réagit le syndicat Solidaires Transport dans un tract distribué lundi matin au personnel de Vitalis. Dans ce même tract, le syndicat demande que la direction paie les heures de grève aux conducteurs qui ont rejoint les ouvriers de l’atelier dans leur mouvement. En considérant ces heures comme des heures de repos. « Actuellement, il y a 1.800 jours de repos dus au personnel de Vitalis. » Ce que la direction a refusé la semaine dernière. Ce lundi, deux cadres et des représentants de l’UNSA, de la CGC et de la CFDT ont participé au mouvement. La direction propose au syndicat Solidaires Transport de discuter dans le cadre des négociations annuelles obligatoires avec l’ensemble des organisations syndicales (CGT, CFDT et UNSA). Le filtrage des bus intervient de 6 h 30 à 7 h 25. Très peu de bus sortent du dépôt et cela occasionne des perturbations sur toute l’agglomération, à l’exception des cars scolaires, assurés par une entreprise de transport privée.

J.-J. B., Nouvelle République, 19 mars 2013